Le prochain « mercredi de la rue Férou » aura lieu le 24 février 2010 (18h-20h)
Le thème : Mélusine, la grande revue du surréalisme (30 numéros depuis 30 ans) éditée par l'Âge d'Homme.
Invité : Pr Henri Behar (directeur de la revue)
Présentation. Débats. Nouveautés.
Le n° 30 sera disponible : « Le surréalisme serbe ».
Librairie l’Âge d’Homme
5 rue Férou - 75006 Paris
M° St-Sulpice
Pour tout renseignement : 01 55 42 79 79
courriel : lagedhomme@orange.fr
voir le blog : http://librairielagedhomme5rferouparis.blogspot.com/
Depuis sa première livraison, en 1979, Mélusine s’est donné pour seul et unique objectif l’analyse du mouvement surréaliste. Une telle ambition ne peut se borner à la simple observation des groupes réunis autour d’André Breton, elle se doit de dégager tous les prolongements liés à leur activité. C’est là une garantie pour percevoir l’ampleur réelle du surréalisme, pour comprendre qu’il constitue un courant autrement plus fécond qu’un simple dilettantisme littéraire.
Mélusine veille à multiplier ses approches
À partir de l’université Paris III, la revue fait bien sûr appel à des spécialistes de la France entière, mais elle réserve une place notable à des collaborateurs venant de tous les centres de recherches sur le surréalisme. Elle réunit ainsi un nombre important de collaborateurs, chercheurs européens (France, Belgique, Portugal, Espagne, Angleterre, Allemagne, Pays-Bas, Roumanie...), américains (Canada, États-Unis), japonais... Ce caractère international est sensible également dans la volonté d’analyser les répercussions du surréalisme partout où elles sont observables, tant en Suède qu’en Égypte, tant en Yougoslavie qu’au Pérou... La même diversité se manifeste évidemment dans les sujets abordés par les études publiées. Les livraisons de Mélusine sont attentives à toutes les formes prises par les pratiques surréalistes (littérature, arts plastiques, photographie, revues...), à l’écho que le surréalisme reçut parmi d’autres groupes d’avant-garde, dans la presse française ou plus généralement dans la société française ; bien sûr, les grands phares du surréalisme ne sont pas non plus négligés.
Le thème : Mélusine, la grande revue du surréalisme (30 numéros depuis 30 ans) éditée par l'Âge d'Homme.
Invité : Pr Henri Behar (directeur de la revue)
Présentation. Débats. Nouveautés.
Le n° 30 sera disponible : « Le surréalisme serbe ».
Librairie l’Âge d’Homme
5 rue Férou - 75006 Paris
M° St-Sulpice
Pour tout renseignement : 01 55 42 79 79
courriel : lagedhomme@orange.fr
voir le blog : http://librairielagedhomme5rferouparis.blogspot.com/
Depuis sa première livraison, en 1979, Mélusine s’est donné pour seul et unique objectif l’analyse du mouvement surréaliste. Une telle ambition ne peut se borner à la simple observation des groupes réunis autour d’André Breton, elle se doit de dégager tous les prolongements liés à leur activité. C’est là une garantie pour percevoir l’ampleur réelle du surréalisme, pour comprendre qu’il constitue un courant autrement plus fécond qu’un simple dilettantisme littéraire.
Mélusine veille à multiplier ses approches
À partir de l’université Paris III, la revue fait bien sûr appel à des spécialistes de la France entière, mais elle réserve une place notable à des collaborateurs venant de tous les centres de recherches sur le surréalisme. Elle réunit ainsi un nombre important de collaborateurs, chercheurs européens (France, Belgique, Portugal, Espagne, Angleterre, Allemagne, Pays-Bas, Roumanie...), américains (Canada, États-Unis), japonais... Ce caractère international est sensible également dans la volonté d’analyser les répercussions du surréalisme partout où elles sont observables, tant en Suède qu’en Égypte, tant en Yougoslavie qu’au Pérou... La même diversité se manifeste évidemment dans les sujets abordés par les études publiées. Les livraisons de Mélusine sont attentives à toutes les formes prises par les pratiques surréalistes (littérature, arts plastiques, photographie, revues...), à l’écho que le surréalisme reçut parmi d’autres groupes d’avant-garde, dans la presse française ou plus généralement dans la société française ; bien sûr, les grands phares du surréalisme ne sont pas non plus négligés.
L’activité de Mélusine reste associée à un esprit de curiosité
L’étude d’une question fondamentale pour l’approche du mouvement surréaliste s’ouvre ensuite sur les rubriques Variétés ou Documents, où sont proposés des textes ou des documents inédits, des informations sur les recherches en cours, des réflexions à propos de publications récentes ou d’aspects négligés du surréalisme.
Par ailleurs, quatre des livraisons de Mélusine ont été consacrées à des actes de colloques.
Mélusine, c’est enfin la « Bibliothèque Mélusine »
Cette collection, où sont publiés des thèses et des travaux importants, constitue un prolongement naturel du travail de prospection que représentent les livraisons annuelles de Mélusine.
Consulter la liste des numéros de la revue Mélusine et les livres de la bibliothèque Mélusine :
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