mardi 22 juin 2010

En attendant le 30 juin 2010

Le Centre culturel de Serbie et les éditions L’Age d’Homme
vous invitent à découvrir la nouvelle collection de L’Age d’Homme
ARCHIPEL SLAVE
qui s’enrichit de trois nouveaux titres :

Éloge du feu de Branko Miljković
Poèmes traduits du serbe par Zorica Terzić
Illustrations de Vladimir Veličković

Seule la lumière de Milovan Danojlić
Poèmes traduits du serbe par Vesna Bernard-Radović

Ma cousine Émilie de Vlada Urošević
Roman traduit du macédonien par Jeanne Delcroix-Angelovski

Mercredi 30 juin 2010 à 19 h 00
Centre culturel de Serbie • 123, rue Saint-Martin • 75004 Paris
M° Rambuteau, Châtelet-les-Halles


Intervenants :
Vladimir Veličković, peintre
Milovan Danojlić, poète et écrivain
Vlada Urošević, poète et écrivain
Vesna Bernard-Radović, traductrice
Jeanne Delcroix-Angelovski, traductrice

Soirée animée par Zorica Terzić

En présence de :
Son Excellence Dušan T. Bataković, ambassadeur de Serbie en France
M. Vladimir Dimitrijević, fondateur et directeur des éditions L’Age d’Homme


Pour tout renseignement :
Centre culturel de Serbie
Tél. 01 42 72 50 50 • info@ccserbie.com
Librairie L’Age d’Homme
Tél. 01 55 42 79 79 • lagedhomme@orange.fr

jeudi 17 juin 2010

Compte rendu de la soirée du 16 juin 2010

Marie-Christine d'Welles a fait une brillante présentation de son roman : elle a évoqué la naissance du personnage de Charly, héros du Fils de son père. Nous avons trinqué aux succès de Charly et Lucia !
Et nous sommes donnés rendez-vous le mercredi 30 juin 2010 pour le dernier "mercredi de la rue Férou" avant la rentrée : rendez-vous au Centre culturel de Serbie (en face de Beaubourg). Le thème : Présentation de la collection "Archipel slave" de L'Âge d'Homme avec trois nouveaux titres.
La librairie reste ouverte tout l'été. Venez nous rendre visite, nous serons ravis de vous conseiller, de discuter et de vous rencontrer.

lundi 7 juin 2010

En attendant le mercredi 16 juin 2010

Deux rendez-vous avant le "mercredi de la rue Férou" du 16 juin 2010 (Marie-Christine d'Welles, Le Fils de son père) :
Le dimanche 13 juin 2010, salon du livre de Radio Courtoisie à l'Espace Champerret (14-19h), au stand du LJN de L Helly et J.-M. Le Méné, vous retrouverez :

Carla Volkoff
Louis Monier (photographe)
Somanos Sar
Jacques Hogard
Anne Martin-Conrad
Pierre-Marie Bernard (joaillier)
Jacques David (lapidaire)
Jean-Luc Gendry
Marie-Christine d’Welles
Stéphanie des Horts
Vladimir Dimitrijevic...


Et à l'église Saint-Sava du Simplon :
L’Église orthodoxe serbe et les éditions L’Âge d’Homme
ont l’honneur de vous inviter à la soirée consacrée à
Saint Justin le Nouveau de Tchélié (Justin Popovitch)
à l’occasion de sa récente canonisation par l’Église orthodoxe serbe
Dimanche 13 juin 2010 (18h - 21h)
Paroisse Saint-Sava - 23, rue du Simplon – 75018 Paris – M° Simplon

Vêpres : 18 heures (église Saint-Sava)
Conférence : 19 heures (grande salle de la paroisse Saint-Sava)
Lecture suivie d’un verre de l’amitié.
Intervenants :
L’archiprêtre Nicolas Cernokrak, doyen de l’Institut Saint-Serge à Paris
Jean-Claude Larchet, patrologue et théologien
Bernard Le Caro, hagiographe et liturgiste
Jean-Paul Besse, historien et essayiste
En présence de Monseigneur Luka et l’éditeur Vladimir Dimitrijevic
Pour tout renseignement : Librairie L’Âge d’Homme – Tél. : 01 55 42 79 79 –
Courriel : lagedhomme@orange.fr

mercredi 2 juin 2010

En attendant le mercredi 16 juin 2010

Lire la critique du roman de Marie-Christine d'Welles dans Politique Magazine de juin 2010 (Benoît Gousseau, juin 2010)
http://www.lagedhomme.com/boutique/fiche_produit.cfm?ref=978-2-8251-4071-0&type=47&num=0&code_lg=lg_fr
Marie-Christine d’Welles, dans un nouveau roman, Le Fils de son père
, nous fait quitter les immensités russes, mais non ces rives de la charité. Charly, dont c’est ici l’histoire, est sans doute, dans sa partie, la broderie d’art, un génie ; il n’empêche. Ne serait-ce qu’à cause du regard des autres, il se voit meurtri dans son intégrité physique et le nanisme est pour lui une insulte permanente. Ecorché vif en raison de ce handicap auant que son hypersensibilité de créateur, le petit homme croit en outre avoir un secret de naissance à découvrir. Sa difformité n’est-elle d’ailleurs pas la punition du cile envoyé à un enfant du péché ? La beauté et la laideur, comme la vérité et le mensonge, sont donc les clés de ce livre à la narration fluide et au style direct incisif. Mais le message subtilement instillé par ce roman est ailleurs ; dans la rédemption possible quand toutes les issues sont fermées, dans le renoncement au ressentiment, dans le don offert par retour au Créateur. Le talent de Marie-Christine d’Welles consiste à nous le faire toucher du doigt sans discours ni leçons, mais seulement dans la mécanique minturieuse d’un enchaînement de faits qui, en littérature, s’appelle l’intrigue et, dans la vie, le destin. Mais comme dans toute œuvre réussie, drame et comédie se trouvent ici étroitement mêlés et font, de l’histoire de Charly, une broderie au point si invisible qu’elle pourrait être un dessin de la Providence.
Marie-Christine d’Welles, Le Fils de son père (L’Âge d’Homme, 204 pages, 17 euros).