photo Jeremy Spierer
Aux amis de L’Age d’HommeLa rentrée 2012 n’est vraiment pas comme les autres.
Un éditeur espère toujours beaucoup des livres qu’il publie. Mais pour un succès, il faut une alchimie entre un auteur, un texte, des éditeurs, les médias et le public.
Et cette alchimie, nous l’avons avec le roman de Joël Dicker.
La vérité sur l’affaire Harry Quebert, le formidable roman de Joël Dicker, est en train de créer l’événement dans tout l’espace francophone (Suisse, France, Belgique, Canada), en attendant les traductions…
Le roman est excellent. Les libraires enthousiastes. Le public ravi. Pour l’instant, car l’actualité change assez vite, les jurés des Prix littéraires ont retenu le roman de Joël Dicker :
- 1ère sélection du Prix Goncourt
- 1ère sélection du Prix Fémina
- 1ère sélection du Prix Giono
- 1ère sélection du Prix Interallié
- 1ère sélection du Grand Prix du Roman de l’Académie française
Et Joël Dicker vient de recevoir le Prix de la vocation littéraire Bleustein-Blanchet 2012 !
On attend avec impatience la suite du déroulement des Prix littéraires en octobre et novembre…
Dimitri avait raison : « On continue ! »
Nous vous attendons très nombreux le 3 octobre, « mercredi de la rue Férou » consacré à Joël Dicker.
Le mercredi 3 octobre 2012, « mercredi de la rue Férou » consacré à Joël Dicker, La vérité sur l’affaire Harry Quebert (Fallois/L’Age d’Homme), de 17h à 21, en présence de l’auteur et des éditeurs.
Extraits de la revue de presse Les médias en parlent…
Spécial Joël DICKER. Extraits de la presse écrite.
JOËL DICKER, LA VERITE SUR L’AFFAIRE HARRY QUEBERT
« Un thriller sur fond de réflexion sur l’écriture, doublé d’un portrait saisissant de l’Amérique. Ambitieux, haletant, grand roman… C’est la surprise de la rentrée, le livre qu’on ne lâche qu’à regret, après des heures de lecture captivante ».
Marie-Françoise Leclère, Le Point, 6 septembre 2012
« Addict à Dicker. Une merveille de scénario avec rebondissements, entourloupes, assassinats, faux coupables, vrais destins. Ce roman de Joël Dicker va faire un malheur… et votre bonheur ».
Philippe Tretiack, Elle, 13 septembre 2012
« C’est rare, mais quand cela arrive, rien ne peut couper court à l’excitation. Jeune ou moins jeune, lecteur difficile ou facile, femme ou homme, on lira sans discontinuer jusqu’au bout le roman français de Joël Dicker, La Vérité sur l’affaire Harry Quebert. On n’en sortira qu’épuisé et ravi par le jet continu d’adrénaline littéraire que le narrateur n’a cessé d’injecter dans vos veines. Roman noir, oui, roman policier sans doute, mais tout aussi bien roman psychologique à retournements haletants ou hilares, et roman de mœurs d’une actualité et d’une justesse saisissantes sur cette Amérique profonde qui se cache si bien et qui évolue de façon si déconcertante derrière les dentures parfaites que lui garantissent ses stomatologistes d’avant-garde ».
Marc Fumaroli, Figaro littéraire, 14 septembre 2012
« Si vous mettez le nez dans ce gros roman, vous êtes fichu. Vous ne pourrez pas vous empêcher de courir jusqu’à la six centième page ».
Bernard Pivot, Le Journal du Dimanche, 15 septembre 2012
« Lancer un pavé de 670 pages parmi les livres aux formats plus conformes de l’édition française actuelle tient du défi. Relevant ce défi avec panache, La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert est un éblouissant roman de passion et de crime, d’ambition et de remords, de quête de vérité et d’hypocrisie. Mais aussi de littérature ».
Monique Verdussen, La libre Belgique, 17 septembre 2012
« En maestro, Dicker explore l’Amérique de tous les excès, médiatiques, littéraires, religieux ».
Marianne Payot, L’Express, 19 septembre 2012
« Un livre magistral sur la fiction et la façon de la transposer dans la vie réelle, un livre sur la province et la cruauté des gens très ordinaires. Une formidable réussite et peut-être la révélation de cette rentrée ».
Stéphanie des Horts, Valeurs actuelles, 20 septembre 20122
« Joël Dicker fait le portrait intime de l’Amérique, vue du Maine et ses côtes. Il dépeint aussi la société marchande d’aujourd’hui par le biais du marché du livre. Il tresse enfin, dans un jeu de miroirs, une interrogation sur le métier d’écrire et sur l’amour ».
Lisbeth Koutchoumoff, Le Temps, 21 septembre 2012
éditions L’Age d’Homme
Tribune libre des Amis de L’Age d’Homme
Bernard de Fallois, éditeur. Deux livres à paraître en septembre 2012, en co-édition avec L’Age d’Homme : Joël Dicker, La vérité sur l’affaire Harry Quebert ; Jean-Michel Olivier, Après l’orgie.
LES CO-EDITIONS AVEC L’AGE D’HOMME
Ma première co-édition avec L’Age d’Homme remonte au Retournement de Volkoff. Vladimir Dimitrijevic m’avait envoyé le manuscrit et proposé de le co-éditer. Le roman parut à la rentrée 1979. Il enchanta les lecteurs et déchaîna une cabale contre cet écrivain très peu politiquement correct. Depuis les co-éditions ont continué au gré des rencontres avec Dimitri. Cela fait plus de trente ans, déjà.
La rentrée 2012 est placée sous le signe des co-éditions avec L’Age d’Homme avec Après l’orgie et La vérité sur l’affaire Harry Quebert. Depuis quelques années, on avait le sentiment qu’il n’y avait plus en Suisse d’auteurs qui devenaient des auteurs français, aussi familiers et connus en France que nos écrivains. Et en voici deux, à deux ans de distance, Jean-Michel Olivier et Joël Dicker, qui occupent tout de suite une très grande place dans notre littérature, et j’en suis très heureux.
Quel courage Dimitri donnait à ses amis, quelles vertus rares, il vivait ! Cela m’a paru un signe de signer le contrat pour le livre de Joël Dicker le 28 juin, juste un an après avoir appris, un soir affreux, la mort de Dimitrijevic.
Pendant toute la préparation du livre cet été, je pensais à la joie qui aurait été la sienne : lui qui était croyant, il ne regrette pas d’avoir été frustré de cette joie parce qu’il pense à la nôtre.
Bernard de Fallois
Les médias en parlent… (suite)
JOËL DICKER, LA VERITE SUR L’AFFAIRE HARRY QUEBERT
« Les 670 pages écrites dans un style simple et clair se dévorent comme les thrillers judiciaires de Scott Turow. Mais Joël Dicker, jeune auteur suisse révélé en début d’année par un thriller historique, Les derniers jours de nos pères, réussit à glisser des notations habiles sur les Etats-Unis, sur sa littérature, son côté parfois fabriqué et ses compromissions ».
Hubert Prolongeau, Télérama, 22 septembre 2012
« Le lecteur est subjugué, impatient, littéralement accro, allant de surprise en surprise, ouvrant l’une après l’autre les boîtes du récit comme des poupées russes ».
Thierry Gandillot, Les Echos, 26 septembre 2012
Responsable de la Lettre aux Amis de L’Age d’Homme : lydwine.helly@free.fr
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